Camille Archambeaud - Biographie

Elle a d’abord été ingénieur avant de se consacrer au théâtre.
Elle commence au sein de la compagnie De Natura, dirigée par Guillaume Doucet avec laquelle elle joue dans plusieurs pièces, notamment Peanuts de Fausto Paravidino, Le Traitement de Martin Crimp ou encore une adaptation du Procès de Kafka.
Après une licence Arts du Spectacle à l’université de Rennes 2, elle est formée au Conservatoire National d’Art Dramatique de Saint-Brieuc, dirigé par la compagnie Folle Pensée.
Elle suit également pendant de nombreuses années des ateliers au Théâtre du Cercle avec notamment Marie Bout, Fanny Bouffort ou les membres du collectif Lumière d’août.
Elle fait plusieurs stages dans des domaines divers : marionnette, conte, chant, voix, danse, commedia dell’arte, écriture... qui lui permettent de travailler avec des personnalités comme Renaud Herbin, Pierre Tual, Isabelle Byloos, Sylvie Le Quéré, Philippe Fagnot ou encore Roland Fichet.
Elle collabore avec la Compagnie Zusvex et le Théâtre du Cercle pour la création d’une
forme solo autour de La Horde du Contrevent d’Alain Damasio.
Côté cinéma, elle participe à des long métrages et courts-métrages.
En 2013, elle met en scène Fait Divers de Michel Azama, avec la Compagnie Illeto qu’elle
a fondée avec des membres de De Natura, et joue en 2015 dans Italienne-Scène de Jean-
François Sivadier, avec la même compagnie.
Elle rejoint la compagnie de L’Homme de Paille pour le projet Antigone à New-York de
Janusz Glowacki en tournée en 2015. La même année, elle met en scène L’Opéra de
Quat’sous de Bertold Brecht et Kurt Weil, avec l’association Scène en perspective (22).
En 2016, elle fonde la compagnie La Flamme, dont la ligne artistique suit trois axes :
spectacles sensoriels, immersion dans un univers et spectacles participatifs. Le premier spectacle Vivergence est créé en octobre 2017 au Théâtre du Cercle à Rennes.

" Le Théâtre reflète et comprend le monde pour l'améliorer. Il reste pour cela un des lieux de la pensée active, un lieu de résistance." Jean-Claude Gal.